De mes phalanges, ces rallonges
Et le bruit de l’infernal infâme qui nie
N’aimer que soi et radoter l’humanité
Agonie d’un monde sobre qui sombre
L’ivresse qui vieillit rallonge l’espoir
Écrivez-lui, écrivez-leur, écrivez
Cette image n’est qu’un leurre
L’amour du fourbe et lâche
L’amour ne connaît plus
Le rythme est si lourd
La main bien froide
Ne m’écrivez pas
Restez là-bas

TOUS DROITS RÉSERVÉS © Hella A.