L’éxilé, un nouveau-né
«On peut naître et renaître à jamais.»
«Je suis un exilé, mais je suis un nouveau-né, car ici et ailleurs, je me suis trouvé.»
«On peut naître et renaître à jamais.»
«Je suis un exilé, mais je suis un nouveau-né, car ici et ailleurs, je me suis trouvé.»
On chante les portes qu’on trace avec des mots et que l’on veut à tout prix construire pour enfin les ouvrir. On s’annonce et on dénonce, peu importe si ça dérange, on prend sa chance.