
Je n’ai jamais été l’associée de ces misogynes collants! Je suis entrepreneure pas esclave!
Cet individu pollue la vie de beaucoup de gens et en ressent une satisfaction perverse qu’il étale à profusion sur les réseaux. Apparemment plagiaire/imposteur, puisque dans le passé il s’est permis de récupérer des créations toute faites pour les commercialiser comme étant les siennes (que ce soit directement sur Youtube comme pour certains titres, ou des textes de mon site durant les dernières années pour les retaper à sa sauce, lui-même les utiliser ou les fourguer aux clients de son associée en tant que soi-disant DA performant, si créatif branché sur mon cerveau). La copie de fixette constitue sa recette, sa grande avenue, sa seule stratégie.

Il est devenu totalement dépendant de mes idées et de mes partages sur les réseaux sociaux au niveau de la créativité, il n’existe pas autrement apparemment. Il a de plus soigneusement récolté tous les jours mes textes sur mes comptes et mon site web de création littéraire que je ne peux plus utiliser à cause de son équipe de parasites qui me surveille 24/24 pour faire le minimum et qui compte sur ce qui m’appartient, ma propriété intellectuelle, mon cerveau en action pour conduire ses affaires, et ce, depuis novembre 2018. Je n’ai jamais été l’associée de cette chose soi-disant puissante vautrée à la piscine, qui n’a pas honte d’être copycat stalker à vie. Il ne m’a jamais respectée ni rémunérée, et je ne suis l’esclave de personne. Quelle médiocrité de compter sur le business d’une autre personne pour se dire en affaires, on appelle cela être parasite.
Pas la peine de sortir des phrases insignifiantes comme « l’amour triomphe toujours » après avoir bien longtemps agi en vautours, on sait qui ils sont. Ils pleurnichent à l’occasion pour cacher leurs bêtises qui s’éternisent en jouant aux victimes, mais on connaît déjà la satanée rengaine, donc renverser les rôles ne fonctionne pas. La propriété intellectuelle n’est pas une science nouvelle, qu’ils ne viennent pas gratter pour aller tergiverser et se faire passer pour des artistes de valeur, ils déblatèrent.
Il semble être démuni, délirant quant à la nature de mon existence en tant qu’entrepreneure dans le monde, son équipe désorganisée, vulgaire et toxique fait de la surveillance constante pour aspirer et s’énerver, et ils semblent croire que c’est leur travail de faire des stories pour répondre à chacun de mes mouvements, à tout moment de la journée et de la nuit, depuis 6 ans. Beaucoup de crétinisme ainsi que des prétentions insensées, désespérées, sont caractéristiques de cette organisation qui s’associe de force pour profiter en exclusivité tout en prétendant moraliser l’humanité.
La clique de la kronok: des pilleurs organisés, bêtes et snobs, sans éthique professionnelle, qui contrôlent les médias, jacassent du vide et manipulent le peuple avec leur rebrassages pour se montrer capables, gagner gros et tasser les gens compétents qu’ils jalousent et sabotent impunément! Les bas-fonds!

Notez que ce système d’esclavage moderne avec intimidation vaut aussi pour un chroniqueur surcoté qui a saisi l’occasion pour lui-même suivre cette méthode mafieuse tout en faisant croire qu’il enquêtait sans relâche pour l’intérêt du public (le peuple qu’il méprise en vrai, surtout les édentés), étant soi-disant du côté des bonnes valeurs. Il y avait aussi à travers son acharnement infernal le sous-entendu de punir, de remettre à sa place du bas, et de distribuer ce qui avait de la valeur à ses copines et ceux qui le méritaient plus que moi (une intellectuelle, artiste accomplie, reporter, essayiste et auteure de talent qui avait osé briller et être aimée du public d’ici et d’ailleurs par ses propres moyens) même si j’étais le cerveau, la source riche, tel un pseudo Robin des bois qui donne à l’élite des proclamés glorieux, la société de « la crème de la crème ».
Cela faisait déjà quelque temps qu’il planifiait de me bouffer vivante avec ses amis, par envie et perfidie d’hypocrite en chef. Ils n’ont rien d’autres à penser et à s’organiser dans leur petit cercle de snobs qui oublient toujours de parler de leurs salaires de protégés qui se cachent derrière des chroniques pour le peuple afin de peaufiner des complots de bas-niveau et manœuvrer en toute liberté. Il me voyait comme sa cagnotte à restos chics, vins dispendieux, voyages, condos et gros comptes en banque, sa recherchiste gratis pour ligne éditoriale et chroniques trop bien payées. Mais pas seulement à lui, tous ceux à qui il a offert un morceau de moi afin qu’ils agissent en intellectuels et vedettes avec quelque chose de pertinent à dire et encaisser de gros chèques! Un pillage intellectuel généralisé fut organisé, ce qui a propulsé des carrières de petits vicieux par le biais du rebrassage de mes textes, toujours accompagné de saupoudrage mesquin de mots-clés destiné à narguer pour me tuer l’âme, me démolir psychologiquement en me ruinant professionnellement.
Il faut voir la joie de ces collants méchants, chaque jour, chaque semaine, mois et année, comme s’ils orgasmaient à chacun de mes textes, livres, massacré au nom de leur pseudo succès. Le genre à arnaquer ouvertement pour jouer aux victimes de rejet une fois détestés par le vrai cerveau exploité, ou même pire oser se dire être intimidés, alors que le pillage intellectuel, l’association obligée pour exploiter, voler, et la violation de la vie privée constituent du harcèlement criminel!
Les agresseurs pervers narcissiques têtes enflées s’amusent toujours à renverser les rôles une fois dénoncés et ils se liguent frénétiquement en meutes pour y arriver.
Il semble notamment avoir fouillé dans ma vie privée sans arrêt pour étaler son gossip de vipère entre les lignes, et me faire pression avec de l’intimidation subtile plutôt flagrante étant donné que tout le monde connaît ses méthodes belliqueuses à vomir (il continue d’ailleurs à faire de l’intrusion de voyeur dans ma vie privée avec l’aide de pauvres ignorants, endossé par des véreux, et ce, partout où mes pas me mènent). Comme un sociopathe, il s’accroche en espérant avoir un scoop bidon à sortir un jour de son chapeau de magicien raté, me prenant ainsi pour le carburant et le gibier, à m’instrumentaliser jusqu’au bout et de toutes les manières possibles et imaginables.
Quelle médiocrité de compter sur le business d’une autre personne pour se dire en affaires, on appelle cela être parasite!
Grand humaniste, moralisateur de pacotille braqué qui ricane bêtement avec ses collaborateurs complices du cirque, la copie de fixette constitue sa recette, sa grande avenue. On pouvait d’ailleurs (on le peut encore) facilement constater sa fixation pathologique: tous ses topos ennuyeux de contrôlant comportant des allusions quant à mon existence, mes idées, mes écrits, ma vie personnelle, ma visibilité. Sa pratique immonde s’est généralisée parmi ses collègues, comme une meute incapable de citer qui avait décidé que profiter ensemble était légitime et que le système à prioriser était celui de: la cancel culture/pillage intellectuel combinés. Il était tout fier de raconter fort, toujours entre les lignes, que cette stratégie dévastatrice (soit récupérer tous mes textes pour les retaper à sa sauce, les utiliser comme templates et se faire payer tout en s’appuyant sur ma visibilité de proclamée associée bénévole volontaire) avait aidé au succès du virage numérique de son employeur. Je n’ai jamais été l’associée de cet individu en crise narcissique toxique au micro, qui n’a pas honte d’être copycat stalker pour exister. Il ne m’a jamais respectée ni rémunérée, je n’ai jamais travaillé ni avec lui ni pour lui, et je ne suis l’esclave de personne.
Ces misogynes obsédés par plus compétente qu’eux, entourés de femmes voraces en crise de jalousie maladive, se sont ainsi greffés à mon existence durant 6 années, comme si j’étais l’esclave de la cave qui prépare les brouillons de colons supérieurs afin qu’ils puissent briller grâce à mon intelligence et gagner gros. Ces mâles s’attendent à une reconnaissance et soumission impossibles de ma part, comme si leur glorification et l’augmentation de leurs comptes en banque étaient mes responsabilités, même mes priorités. Ils sont du genre à exiger une adoration qu’il n’obtiendront jamais, ils croient avoir le droit de parasiter pour gagner gros et gâter leurs copines et pions profiteurs.








